A une date prédestinée
celle du jour où ma maman était née
au siècle dernier ; ce même jour une Âme nouvelle
est venue sur terre, qu'il soit loué !
pour sur il va être aimé et protégé
; tellement mignon , un p'tit loup
dans son prénom il porte celui de son arrière grand-père
et même le mien en fin : Marie ( notre mère à tous)
Tout de blanc vêtu il est le bienvenu,
le premier dans une famille
Les parents sont heureux et comblés
les nouvelles générations se replient sur leur œuvre
pour mieux voir évoluer et même à deux découvrir
le bonheur d'être parents : Tout évolue tout change
il faut s'adapter aux nouvelles mentalités
on fait tout pour cela en accordant un congé parental
pour que le papa puisse ainsi voir éclore cette vie nouvelle
et l'accompagner : rester près de la maman
L’orque l'enfant parait ....
Lorsque l'enfant paraît,
le cercle de famille
Applaudit à grands cris.
Son doux regard qui brille
Fait briller tous les yeux,
Et les plus tristes fronts,
les plus souillés peut-être,
Se dérident soudain à voir l'enfant paraître,
Innocent et joyeux. ♥♥♥
Sous la protection de Marie il va s'épanouir
quel bonheur quand une Âme nouvelle arrive dans une famille
Après deux petites princesses arrières petites- filles
un garçon est arrivé dans une autre branche
de l'arbre généalogique : Il porte une partie de mes gènes
c'est peut être cela l'immortalité! les enfants de nos enfants
et pour moi les petits-enfants de ( mes enfants)
Pour moi , qui ai connu mes grand-parents et même plus
je suis au centre de cette lignée, et peux leur raconter
ou leur conter la vie d'avant et celle de maintenant
un maillon nouveau, un maillon dans la chaine de la vie
un maillon dans la chaine de l'humanité
un petit ange qui sourit, et fait le bonheur de tous
nous allons t'apprivoiser applaudir a tes exploits
car tu seras notre postérité
et puis comme les autres dans l'amour tu grandiras
Premières dents première souffrances
premières angoisses pour tes parents
nous sommes tous passés par ces moments
je ne sais toujours pas comment tu vas m'appeler
c'est toi qui décidera dans quelques années
pour le moment tu dors, bienheureux bébé
Nous veillerons sur toi ! petit ange qui est venu
apporter joie, bonheur : Sur ton berceau
tous ceux qui t'aimeront veilleront sois le bienvenu
Applaudit à grands cris.
Son doux regard qui brille
Fait briller tous les yeux,
Et les plus tristes fronts, les plus souillés peut-être,
Se dérident soudain à voir l'enfant paraître,
Innocent et joyeux.
Qui des plus douces fleurs embaume son haleine
Quand vous la respirez ;
Mon âme est la forêt dont les sombres ramures
S'emplissent pour vous seul de suaves murmures
Et de rayons dorés !
Car vos beaux yeux sont pleins de douceurs infinies,
Car vos petites mains, joyeuses et bénies,
N'ont point mal fait encor ;
Jamais vos jeunes pas n'ont touché notre fange,
Tête sacrée ! enfant aux cheveux blonds ! bel ange
À l'auréole d'or !
Vous êtes parmi nous la colombe de l'arche.
Vos pieds tendres et purs n'ont point l'âge où l'on marche.
Vos ailes sont d'azur.
Sans le comprendre encor vous regardez le monde.
Double virginité ! corps où rien n'est immonde,
Âme où rien n'est impur !
Il est si beau, l'enfant, avec son doux sourire,
Sa douce bonne foi, sa voix qui veut tout dire,
Ses pleurs vite apaisés,
Laissant errer sa vue étonnée et ravie,
Offrant de toutes parts sa jeune âme à la vie
Et sa bouche aux baisers !
Seigneur ! préservez-moi, préservez ceux que j'aime,
Frères, parents, amis, et mes ennemis même
Dans le mal triomphants,
De jamais voir, Seigneur ! l'été sans fleurs vermeilles,
La cage sans oiseaux, la ruche sans abeilles,
La maison sans enfants