Ce texte est ancien,
il y a plein d'amour qui s'en dégage
ce jour est à cette image : une pensée qui s'envole
un baiser et une agréable humeur
les fleurs écloses ce matin ont bravé la chaleur
candides et fragiles elles sont résistantes
ce matin j'ai changé le parasol et mis de la couleur
les cigales chantent et les tourterelles s'appellent
on a l'impression qu'elles se contiennent
et n'en pouvant plus, elle s'envolent se suivent
se taquinent et sur un grand pin expriment leur bonheur
Un papillon jaune se pose sur une fleur ( chutt )
Tout est dans l'ambiance de ce jour de fin juillet
tout s'assemble, tout se fait dans une grande complicité
que je vais aller partager dans mon jardin
ce sont des petits bonheurs simples
et des moment que je vous offre, à vous vous qui me lisez
ce sera une noble pensée venue du Sud et pleine de soleil
de tendresse et d'amitié ..
Le vent quand il souffle m’apporte de tes nouvelles
Un baiser au creux de la main Je souffle et hop il s’en va
L’as-tu reçu, toi mon âme sœur ou frère ?
L’as-tu reçu ce beau message celui du souffle de vie
Qui est plus forte que tout et qui nous lie
la vie qui semble si belle s’il n’y avait pas le quotidien
celui qui nous prend, nous enchaîne
tous les jours nous disons demain
oui demain sera un autre jour
c’est déjà beau ce qui nous réunit
la haut, ou là bas, ou encore je ne sais pas
je ne sais plus, si c’est raisonnable
mais tu me dis : Soyons fous, oui soyons fous
le temps passe si vite et puis il sera si court
quand nous nous retrouverons
tant de choses à nous dire tant de partages en commun
tant de liens de fils, qui nous relient
La haut Dieu tire les ficelles
comme pour mieux influencer ce destin
qu'il tient au creux de sa main
tout comme mon baiser qui s'envole au vent...
Tu pries pour moi, c’est un partage
Je pense à toi, mais je n’ai pas ton énergie
Ah ! Oui énergie ? Mains qui soignent
Mains qui parfois guérissent
Comme les miennes pour les brûlures
don que je dois à Saint Laurent
et à ma tante Catherinette pourquoi moi?
Pourquoi, nous sommes nous trouvés
Sur un même axe, sur une même ligne
Sur une même voie, et je suis heureuse
Quand nos voies se mêlent l’une à l’autre
et nos voix c'est si bon la perfection ,
celles que nous cherchons pour être toujours meilleurs
Si j’écoutais j’irai jusqu’au bout de la nuit
Apaisée et sereine, heureuse de ces échanges
Parfois avec de l’humour, souvent en symbolique
Et toujours emplis de bonheur
Le vent, va emporter mon message
Qu'il soit doux à ton cœur !!!
Te voici conduit par tant de beauté
de bonté à ton égard : Tant de partages
Pour ne pas tout révéler nous chercherons ensemble
Ce qui encore peut nous réunir
C’est fou toutes ces attaches, tous ces liens
Tous ces fils que nous avons tissés et font une belle toile !
Une fine dentelle, celle que j’aime
Dentelle et dentellières
dentelles précieuses de Malines ou de Calais
dentelles de nos grand-mères un peu jaunies
un peu passées : tout ce qui me plait
et que tu dois aimer !!!
Et tous les jours d'autres liens se tissent
c'est presque divin, comme si nous étions
par la main de Dieu mis sur un même chemin
chemin d’amour d’amitié et de fraternité
comme une âme sœur ou frère
deux flammes nées de la principielle
tant de clarté dans cette lumière
qui pourtant ne nous éblouit pas
près de moi, tu as trouvé l'aide, le réconfort
c'est un peu moi , qui t'ai sortie de la léthargie où tu sombrais
par des mots forts,tu as pu exprimer ton mal-être
de ce corps meurtri qui s'était de nouveau éveillé à la vie
nouveau re-nouveau et vive la vie !
Parfois certains oublient ceux qui leur ont fait du bien
Dieu voit tout et réunit ceux qui s'aiment
C'est ce que mes filles on dit au prêtre
quand on a demandé que soit chantée l'hymne à l'amour
hymne à l'amour une si belle chanson pleine d'espoir
Le temps des Lions est arrivé avec son cortège
de jours heureux et les autres, je retiens
les jours heureux pleins de bonheur
Je t'adore, Soleil ! ô toi dont la lumière,
Pour bénir chaque front et mûrir chaque miel,
Entrant dans chaque fleur et dans chaque chaumière,
Se divise et demeure entière
Ainsi que l'amour maternel!
Je te chante, et tu peux m'accepter pour ton prêtre,
Toi qui viens dans la cuve où trempe un savon bleu
Et qui choisis, souvent, quand tu veux disparaître,
L'humble vitre d'une fenêtre
Pour lancer ton dernier adieu!
Tu fais tourner les tournesols du presbytère,
Luire le frère d'or que j'ai sur le clocher,
Et quand, par les tilleuls, tu viens avec mystère,
Tu fais bouger des ronds par terre
Si beaux qu'on n'ose plus marcher!
Gloire à toi sur les prés! Gloire à toi dans les vignes !
Sois béni parmi l'herbe et contre les portails !
Dans les yeux des lézards et sur l'aile des cygnes !
Ô toi qui fais les grandes lignes
Et qui fais les petits détails!
C'est toi qui, découpant la soeur jumelle et sombre
Qui se couche et s'allonge au pied de ce qui luit,
De tout ce qui nous charme as su doubler le nombre,
A chaque objet donnant une ombre
Souvent plus charmante que lui!
Je t'adore, Soleil ! Tu mets dans l'air des roses,
Des flammes dans la source, un dieu dans le buisson !
Tu prends un arbre obscur et tu l'apothéoses !
Ô Soleil ! toi sans qui les choses
Ne seraient que ce qu'elles sont..