Ce jour je n'ai pas le cœur
pour écrire et je remets
cet article en hommage à Jérusalem
qui correspond avec la pentecôte
De l'amour pour contrer
la haine et les violences
voici un texte biblique ..
-Qui n'a pas entendu cette phrase ?
est comme ce qui est en bas"-
en haut le ciel, en bas la terre :
le spirituel et le matériel
l'image et le volume
notre image extérieure
et notre - MOI- profond-
Voici quelques textes
sur la Jérusalem Céleste
Voici le chemin, que nous sommes
invités à suivre
Pour trouver le royaume des Cieux
c'est un rêve, un mythe,
une vision de Saint Jean dans l'apocalypse
le ciel descendra sur la terre
Tout est symbole
Le ciel tombera sur la terre
pour les mécréants
Et en vérité la Jérusalem Céleste
est en chacun de nous
Au plus profond de notre cœur
Qui n'a pas entendu cette phrase
Ce qui est en haut est comme ce qui est en bas
en haut le ciel, en bas la terre : le spirituel et le materiél
l'image et le volume
notre image exterieure et notre - MOI- profond
Texte biblique :
Le monde nouveau
et la Jérusalem nouvelle
Puis je vis un ciel nouveau,
une terre nouvelle –
car le premier ciel
et la première terre ont disparu,
et de mer, il n’y en a plus.
Et je vis la Cité sainte,
la Jérusalem nouvelle,
qui descendait du ciel, de chez Dieu ;
elle s’est faite belle,
comme une jeune mariée
parée pour son époux.
Puis l’Ange me montra le fleuve
de Vie, limpide comme du cristal,
qui jaillissait du trône de Dieu
et de l’Agneau
La ville brillait d'un éclat semblable
à celui d'une pierre précieuse,
d'une pierre de jaspe
transparente comme du cristal.
Elle avait une très haute muraille,
avec douze portes,
et douze anges gardaient les portes.
Sur les portes étaient inscrits
les noms,des douze tribus
du peuple d'Israël
Il y avait trois portes de chaque côté:
trois à l'est, trois au nord,
trois au sud et trois à l'ouest.
La muraille de la ville reposait
sur douze pierres de fondation,
sur lesquelles étaient inscrits
les noms des douze apôtres de l'Agneau.»
«L'ange qui me parlait
tenait une mesure, un roseau d'or,
pour mesurer la ville,
ses portes et sa muraille.
La ville était carrée,
sa longueur était égale à sa largeur.
L'ange mesura la ville avec son roseau:
douze mille unités de distance
elle était aussi large
et haute que longue.
Il mesura aussi la muraille:
cent quarante-quatre coudées
de hauteur,selon la mesure ordinaire
qu'il utilisait.
La muraille était construite en jaspe,
et la ville elle-même était d'or pur
aussi clair que du verre.
Les fondations de la muraille de la ville
étaient ornées de toutes sortes
de pierres précieuses :
la première fondation était de jaspe,
la deuxième de saphir,
la troisième d'agate,
la quatrième d'émeraude,
la cinquième d'onyx,
la sixième de sardoine,
la septième de chrysolithe,
la huitième de béryl,
la neuvième de topaze,
la dixième de chrysoprase,
la onzième de turquoise et
la douzième d'améthyste.
Les douze portes
étaient douze perles;
chaque porte était faite
d'une seule perle.
La place de la ville était d'or pur,
transparent comme du verre.»
«Je ne vis pas de temple
dans cette ville,
car elle a pour temple le Seigneur,
le Dieu tout-puissant,ainsi que l'Agneau.
La ville n'a besoin ni du soleil
ni de la lune pour l'éclairer,
car la gloire de Dieu l'illumine,
et l'Agneau est sa lampe.
Les nations marcheront à sa lumière,
et les rois de la terre se prosterneront
devant la face de dieu et l'agneau
et y apporteront leurs richesses.
Les portes de la ville resteront ouvertes
pendant toute la journée; et même,
elles ne seront jamais fermées,
car là il n'y aura plus de nuit.
On y apportera la splendeur
et la richesse des nations.
Mais rien d'impur n'entrera
dans cette ville,
ni personne qui se livre à des pratiques
abominables; et au mensonge
la Jérusalem nouvelle,
est le symbole de l’église,
épouse du Christ,
parvenue à sa maturité
dans le royaume..
ce n'est pas sans raisons
que les pèlerins de Lourdes
connaissent par cœur le célèbre cantique
«je vis la cité sainte la nouvelle Jérusalem.
car l'église-épouse est tout entière résumée
en la personne de Marie;
quand Bernadette à vu Marie,
elle a vu en quelque sorte la cité Sainte...
l'époux, il s'agit à l'évidence
du Christ ressuscité...
Par " Eugénie "
la JÉRUSALEM céleste
texte tiré de l'Apocalypse de St Jean..
apocalypse signifie lever un voile..
Il faudrait des bouquins entiers
pour développer cela, je vais à l'essentiel,
déjà le chiffre 144 signifie
l'humanité tout entière
12X12 tribus, et les 12 apôtres..
( importance du chiffre 12 )
que nous retrouvons au quotidien
sera pour tjrs le lieu de la communion
de Dieu avec les hommes......
rassemble dans une même action de grâce
tous ceux, connus et inconnus
qui "constituent "la cité sainte",
la Jérusalem nouvelle (Ap21,2)
accomplissement de l'humanité
selon le dessein de Dieu..
Cette cité sainte descend du
"ciel" de chez Dieu,
dans cette cité point de temple,
le temple c'est Dieu lui même,
omniprésent, et l'Agneau qui porte tout,
la gloire de Dieu enveloppe la cité
et l'agneau lui même est son
flambeau....le langage est symbolique,...
avec les hommes
a la perfection d'un cube
dont les matériaux sont incorruptibles
et resplendissants..
cette cité céleste
engrange les données fondamentales
de l'histoire Sainte,
première alliance, et nouvelle alliance..
et recueille dans le royaume
enfin accompli toutes les richesses de la culture humaine.....
AT ET NT sont intrinsèquement liés..
Chère Amie ce sujet me passionne.