Soleil tu es enfin arrivé
et tu restes avec nous
j'ai pris mes premiers bains de soleil
et d'amour -
je t'aime mon astre divin,
mon soleil
celui
dans la constellation du chien Canis
Canis Canicule,
c'est souvent au mois d'aout
qu'il fait le plus chaud
pour le moment nous sommes
en soleil descendant
J'aime me poser reposer sur le bain de soleil
t'attendre, être prête pour toi
presque comme un amant que j'attends
je t'aime le matin quand tu rentre dans ma chambre
je t'adresse un petit message convenu entre nous
je t'aime le soir quand tes rayons sont obliques
apportent du bonheur
et j'aime te suivre dans ta course
puis te regarder disparaître plus loin derrière la colline
tout prend un autre relief,
les arbres deviennent noirs
Au revoir soleil je t'accueillerai
demain si Dieu veut
avec autant d'amour dans mon cœur
Soleil quand tu reviens, tu mets partout de la vie
j'aime ouvrir mes volets je vais de mystère en merveille
d'abord merci la vie de me donner ce bonheur
Regarder les fleurs c'est aussi méditer
se remplir le cœur de souvenirs d'émotions,
car tout vit renaît et va éclore, ou bien s'étiole
mes premières roses sont fanées, d'autres vont éclore
Elles sont symboles d'amour et de connaissance
Amour, tu es dans mes pensées, dans mes actions
pour toi amour, je sais donner ...
tes rayons de soleil me grisent comme la brise de mer
Merci soleil, mon moral est au plus haut
et moi aussi je parais renaître,
bientôt corolles et pistils seront à la fête
et moi, je vous regarde avec un cœur d'enfant
que tout émeut et attire comme un aimant
Ce jour grand soleil sur les fleurs
un peu d'émotion dans mon cœur
comme le papillon noir qui tournoyait de fleur en fleur
sans savoir où se poser
Et pourtant il y a partout de la tendresse
des couleurs de l'amour et de la vie
qui donne envie
jolis papillons qui dans mon jardin
sont les bienvenus
tout comme les hirondelles
et les tourterelles
un bonheur simple
25 juillet il fait chaud les cigales chantent
jour heureux jour empli de soleil qui va durer
Et mille délicates fleurs dans son cortège ! Douceur
Douceur tendresse moments partagés
Ô toi soleil, tu irradie mon âme
et mon environnement
Tu es dans mon univers et mon quotidien une joie
Tout s'éveille, la sève monte, et fait bourgeonner
tout bois qui paraissait mort, et sous ta chaleur renaît
C'est cela le mystère de Proserpine et Éleusis
la nature est comme cette belle endormie
qu'un matin, un prince réveille, ou révèle..
tout est symbole, les papillons qui butinent
les abeilles qui font leur miel , dans le cœur des fleurs
pour en extraire leur profonde douceur
avec délicatesse, leur travail est savant, bien organisé
Elles jouent avec toi hélios et tes rayons
tout dans la nature est beau et devient UN
Merci à toi soleil; Et merci à un gentil ami de mon enfance
qui m'a écrit que j'étais pour tous un rayon de soleil
qui n'éblouit pas et donne de la chaleur en toute chose
Hymne au soleil ; qui apporte vie, et envie
sans lui tout est terne et morose
et lui fait éclore mes roses
Et moi ce jour je vais rester avec toi
su mon bain de soleil qui est prêt
je vais me poser, une brise légère venue de la mer
m'apporte comme une caresse venue d'ailleurs
je rêve, je ferme les yeux pour mieux sentir
ta chaleur sur mon corps, Ô volupté
l'eau est là aussi et m'appelle, de l'un à l'autre
à l'ombre après sous le parasol ! ombres et lumières
rêvons, délicieux bien-être , petit ton de l'été
un peu halé, et pas trop, couleur biscotte
Dans l'eau je vois les fleurs sous un autre angle
toujours resplendissantes , univers magique
Le soleil fait ce petit miracle la magie est là, pour moi
Le soleil est comme un amant a qui je m'offre
Qui dit des mots touchants, mots bonheur
et aux fleurs, qui écoutent cette voix
Et s’ouvrent dans leur naïve pureté
nimbées de perles de rosée et heureuses d’éclore
où le magicien Ô toi soleil
tu mets des étoiles dans mes yeux
en faisant s’ouvrir les corolles
Tout est harmonie dedans et dehors
Les tourterelles sont en parade
Elles se suivent et se posent
Se posent, et puis s’envolent
Dans un bruyant vacarme d’ailes
d'ailes, d’elles elles; et puis et puis ?
elles passent tout près de moi
je les regarde attendrie
Moment magique tout vit et vibre
tout s’éveille au soleil
tout semble prêt à s’unir
les butineurs sont sur les fleurs
et moi sur mon bain de soleil, je suis aux anges
je m'amuse de tout et de rien
et mon imagination est féconde
Je t'adore, Soleil ! ô toi dont la lumière,
Pour bénir chaque front et mûrir chaque miel,
Entrant dans chaque fleur et dans chaque chaumière,
Se divise et demeure entière
Ainsi que l'amour maternel!
Je te chante, et tu peux m'accepter pour ton prêtre,
Toi qui viens dans la cuve où trempe un savon bleu
Et qui choisis, souvent, quand tu veux disparaître,
L'humble vitre d'une fenêtre
Pour lancer ton dernier adieu!
Tu fais tourner les tournesols du presbytère,
Luire le frère d'or que j'ai sur le clocher,
Et quand, par les tilleuls, tu viens avec mystère,
Tu fais bouger des ronds par terre
Si beaux qu'on n'ose plus marcher!
Gloire à toi sur les prés! Gloire à toi dans les vignes !
Sois béni parmi l'herbe et contre les portails !
Dans les yeux des lézards et sur l'aile des cygnes !
Ô toi qui fais les grandes lignes
Et qui fais les petits détails!
C'est toi qui, découpant la soeur jumelle et sombre
Qui se couche et s'allonge au pied de ce qui luit,
De tout ce qui nous charme as su doubler le nombre,
A chaque objet donnant une ombre
Souvent plus charmante que lui!
Je t'adore, Soleil ! Tu mets dans l'air des roses,
Des flammes dans la source, un dieu dans le buisson !
Tu prends un arbre obscur et tu l'apothéoses !
Ô Soleil ! toi sans qui les choses
Ne seraient que ce qu'elles sont..
Je t'adore, Soleil ! ô toi dont la lumière,
Pour bénir chaque front et mûrir chaque miel,
Entrant dans chaque fleur et dans chaque chaumière,
Se divise et demeure entière
Ainsi que l'amour maternel!
Je te chante, et tu peux m'accepter pour ton prêtre,
Toi qui viens dans la cuve où trempe un savon bleu
Et qui choisis, souvent, quand tu veux disparaître,
L'humble vitre d'une fenêtre
Pour lancer ton dernier adieu!
Tu fais tourner les tournesols du presbytère,
Luire le frère d'or que j'ai sur le clocher,
Et quand, par les tilleuls, tu viens avec mystère,
Tu fais bouger des ronds par terre
Si beaux qu'on n'ose plus marcher!
Gloire à toi sur les prés! Gloire à toi dans les vignes !
Sois béni parmi l'herbe et contre les portails !
Dans les yeux des lézards et sur l'aile des cygnes !
Ô toi qui fais les grandes lignes
Et qui fais les petits détails!
C'est toi qui, découpant la soeur jumelle et sombre
Qui se couche et s'allonge au pied de ce qui luit,
De tout ce qui nous charme as su doubler le nombre,
A chaque objet donnant une ombre
Souvent plus charmante que lui!
Je t'adore, Soleil ! Tu mets dans l'air des roses,
Des flammes dans la source, un dieu dans le buisson !
Tu prends un arbre obscur et tu l'apothéoses !
Ô Soleil ! toi sans qui les choses
Ne seraient que ce qu'elles sont..