Pour le lecteur
Tous les ans depuis son départ je rends un hommage
à l'homme Georges Frêche " Feu le maire de Montpellier"
tous mes amis savent que je suis une femme de droite
humaniste et sociale, c'est d'ailleurs pour cela
que Georges avait voulu que je rejoigne sa liste
tout en gardant mes convictions profondes
et œuvrant pour la ville, comme les 5 élus ( non inscrits)
Nous représentions, les électeurs de droite qui portait ce maire
aux fonctions suprêmes pour la ville
Mon Dieu, si vous reveniez ! la ville est sans âme
très sale, et plus rien n'a de cohérence
la France est mal présidée et encore plus mal gouvernée
Notre région n'est plus Languedoc-Roussillon
Mais Occitanie cela vous aurait plu : une femme est à la tête
de cette grande Région Là où vous êtes mort en scène
, comme vous le souhaitiez
on se chipote, pour avoir encore du pouvoir
La Mairie est aussi un lieu de discordes
Oh ! si vous saviez ?.... que des bras cassés
Vous manquez vraiment, et mon hommage qui suit
est pour vous l'Homme l'Humain...
Les années sont passées et le chaos s'est installé
partout dans notre pays
j'aurais tant aimé savoir ce que vous auriez fait
vous l'homme féru d'histoire !!!!
Hier le 24 c'était l'anniversaire
de votre départ pour l'au delà !
et je pense à vous cher Georges :
Un message et une pensée un hommage
Voici ce que j'écrivais après votre décès
un parti politique celui de l'ancien président
où vous aviez tant fait ! c’est par vous qu’il existait
les instances Nationales ne vous ont jamais appelé
je pense que vous seriez bien troublé
de voir ce qui se passe
vous qu'on avait vilainement exclu
d'autant que vous aviez une solide carrure
un don d'orateur et une grande culture
trop certainement, ainsi que votre franc parler
qui parfois vous desservait
Les fait son têtus: j' étais allée voter
école Lamartine, là où pour une élection
je vous avais rencontré, et sourire malicieux
vous étiez venu avec un mot très aimable m'accueillir
et ce jour c'etait votre fille Julie
je lui ai parlé de mon émotion
nous avons évoqué des liens d'amitié
je vais publier ce que j'écrivais pour vous
quand vous êtes parti..
depuis il y a un grand vide...
Vous avez salué le public et êtes mort en scène
Le temps passe si vite !mais il vaut mieux
que vous n'ayez pas connu toutes les bassesses
vous auriez réagi, avec votre franc parler
Ce texte a 9 ans : Et j'écrivais
Hier soir vers
vingt heures, il pleuvait c'était le 24 octobre 2010
je fermais mes volets, sans trop me mouiller
j'entends Claire Chazal qui parle de Georges Frêche
et j'entends simplement , il était contesté
pour ses propos
il était: je me précipite pour aller sur mon ordinateur
le téléphone sonne
c'est ma fille aînée qui me dit :
As-tu entendu la nouvelle?
non lui dis-je , il s'agit de quoi !
Georges est mort !
arrivée devant mon bureau le téléphone sonne
de nouveau, c'est mon fils
maman as-tu entendu la nouvelle
pour partager leur tristesse
Georges je ne l'avais pas bien perçu dans sa dimension
j'ai fait un mandat dans son opposition
et parfois je disais à mon mari
quand même; je ne sais plus qui écouter,
qui croire , où est la vérité ?
la vérité n'est jamais aux extrêmes
ni tout noir, ni tout blanc
il faut que je me retrouve en moi
que je voies la ville sans œillères
telle qu'elle est : fière et belle
Je doutais, et mon mari me disait
derrière ton ignorance, il y a de l'admiration
derrière mes outrances
c'est vrai il y avait de l'admiration
que je refoulais, comme une passion
qu'on ne veut pas montrer
c'est mon mari qui lisait tout en moi
et qui avait vu combien j'étais à la recherche
de la vérité
C'est d'ailleurs par son entremise
que Georges m'avait sollicitée
mon mari était tellement heureux
que pour lui, je dise oui je veux
je ne me suis pas fait que des amis
j'en ai perdu d'un côté et gagné de l'autre
j'ai fait un mandat
en mettant de coté mes opinions politiques
et travaillé pour la cité la ville Montpellier
je n'ai eu que respect et loyauté
j'ai été soutenue durant mes épreuves
Avec beaucoup de tact un soir de fête
nous voyant tous deux
lui, Jean tellement amaigri, il ne lui demanda pas
comment allez-vous !
Et ce fut: Salut les amoureux ?
Qui ferait ce que cet homme à fait
avec tant de délicatesse
je vais vous le dire, ce matin je l'ai écrit à un ami
et bien voila c'est tout Georges
un diamant dans le cœur, qu'il faut savoir trouver
il laissait des messages durant la nuit
sur mon téléphone portable
pour dire à mon mari, qui était en fin de vie
toute l'estime qu'il avait pour lui
et pour moi, louant mon travail ma loyauté et sincérité
c'était pour moi et pour lui, pour nous deux
un message qui nous réunissait
car c'était lui, Jean mon mari qui avait souhaité
que je m'engage dans cette équipe
pour porter un message que lui n'avais pas pu faire passer
Georges
a été critiqué par les médias nationaux
exclu de son parti politique
par celui qui était le Président de la République
pour des prises de position qui étaient exagérées
car l'homme n'était ni raciste ni antisémite
tout à l'opposé: on lui a fait de mauvais procès..
Maintenant il est de l'autre côté de la rive
il a franchi le pont, du grand voyage
il fut très affecté par le départ de sa mère
Georges c'est en hommage que j'écris pour vous
sans faire de politique, car vous étiez un homme de cœur
et vous aimiez qu'on vous résiste,
vous aviez de l'estime pour moi
ce n'était pas l'indemnité qui me motivait
et puis j'étais l'épouse d'un de vos collegues
de la grande université
Paix à votre âme,
je pense que, vous aviez du vous rapprocher de Dieu
dans son infinie bonté il vous a acceuilli
nous pensons à vous et à votre famille
Cher ami reposez en paix dans l'éternité
le souvenir reste pour les gens simples
ceux qui ne vous étaient pas redevables
vous m'avais toujours considérée avec beaucoup d'égards
de respect de considération
il fallait dans cet homme parfois rustre trouver
le point sensible, et les vôtres vous ont trahi
Oh en politique c'est
pousse toi de là pour que je m'y mette
mais aucun ne vous arrivera à la cheville
vous étiez un peu visionnaire
la Ville, la Région : C'est vous le premier
qui aviez parlé du regroupement des Régions
vous auriez pu en être en d'autres temps
Un GRAND Président !! Les temps ont changés
les régions comme vous l'aviez d'ailleurs écrit
se sont regroupées, vous auriez pu être le seul fédérateur
vous le divers gauche, et avec vous
nous aurions été respectés
Mon hommage est simple et sincère ...